La légende du Cygne.
Blanche, la fille de l’un des Seigneurs du Boisberranger était éperdument amoureux
Du fils de l’un des Seigneurs d’une contrée voisine.
Tous deux, depuis toujours, s’aimaient par-dessus tout, mais la vie n’avait de cesse
De les séparer. Aussi, quand le jeune amoureux dû prendre les armes pour partir
Libérer la Terre-Sainte du joug des impies, la distance, ce fut pesant.
Ils se fiancèrent et se promirent mariage dès son retour.
Mais hélas, le jeune amoureux perdit la vie, laissant sa promise
Dans un désarroi sans nom.
Blanche, dont l’amour n’avait fait que croître au cours des longues années d’attente,
Ne put surmonter son chagrin et, dans son accès de désespoir, elle se jeta à l’eau
Pour rejoindre le seul homme qu’elle ait aimé.
La légende raconte qu’elle fut transformée en un cygne blanc qui, aujourd’hui encore,
Vogue au clair de lune sur l’étang. Et que, ni vivante ni morte, la douce prend sous
Sa protection, tous les amoureux qui, sur les rives, se promènent main dans la main,
Leur garantissant une union fidèle et sans séparation.
Selon la légende, les chats ont 9 vies,
Mais en connaissez vous l'origine ?
Il faut remonter à l'Égypte antique, il y a près de 4 000 ans, pour la comprendre.
Les Égyptiens furent parmi les premiers à domestiquer le chat qu'ils portaient au rang
De divinités, une divinité à double visage :
Bastet, la chatte, était la protectrice des foyers et elle se transformait
En la redoutable Sekmet, la lionne, quand un danger se présentait.
Sa fureur et sa vengeance étaient craintes par l'ensemble du peuple.
Les chats revêtirent donc une place importante dans la culture égyptienne, à tel point
Qu'à leurs morts, ils étaient momifiés et bénéficiaient
Des mêmes rites funéraires que les humains.
Les 9 vies dont on les a attribuées ne tiennent pas au hasard :
9 étant le triple de trois, il représente donc la triple trinité primordiale,
Un chiffre qui gardera tout son symbolisme dans la plupart des autres cultures
Durant les siècles qui suivirent jusqu'à nos jours encore.
LA LICORNE
Connaissez vous cette légende ?
Où aimeriez vous l'apprendre ?
Comment sont nées les licornes ?
Ont-elles vraiment cette forme ?
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Ils galopaient vers l'horizon gaiement
Cherchant un coin charmant
Vit ces glorieux chevaux blancs
Décida de récompenser cet amour
Lui demandant ainsi qu'à Diane
Un parement les distinguant
Voulurent les dompter ou les tuer
Vite, le Créateur Divin intervient
Regardez derrière les petites fleurs
Regardez les licornes montées par les fées
Joyeusement, toutes leurs ailes déployées.
Trop Mignon.
SAINTE LUCIE.
Une jeune fille de la noblesse Syracuse qui obtint la guérison miraculeuse
De sa mère atteinte d'une maladie incurable à force
De prières répétées à la Vierge Marie.
En Corse, l'œil de Sainte-Lucie"
dans tout le bassin Méditerranéen, et au-delà (notamment en Indonésie).
Il s'agit de l'opercule d'un coquillage que l'on peut ramasser
sur certaines plages après une grosse tempête.
La taille des opercules peut varier de 2 mm à 3 cm.
L'opercule du coquillage nommé, le " Turbo Rugueux "
Que l'on trouve sur les rivages
Les méditerranéens symbolisent les yeux de Sainte-Lucie.
En porter un, éloigne, dit-on, le mauvais œil et favorise la chance.
Tout tournée vers la prière, elle réalisa bon nombre de miracles.
En réponse à cette dévotion, la Sainte Vierge, lui rendit la vue
Et lui donna des yeux plus beaux et plus lumineux.
Vouant un culte et une dévotion sans limites à cette dernière,
Elle s'arracha les yeux et les jeta à la mer pour ne pas être détournée
De sa foi et éloigner ses prétendants.
La légende des capteurs de rêves
Selon la légende, une femme araignée
Appelée Asibikaashi prenait soin des gens de la terre.
Cette femme araignée veillait sur toutes les créatures du monde,
En se penchant sur les berceaux et les lits des enfants, pendant qu’elle tissait
Une toile fine, délicate et résistante, capable d’attraper le mal entre ses fils,
Et de faire disparaître les mauvaises pensées jusqu’à l’aube.
Lorsque son peuple a été dispersé dans toute l’Amérique du Nord,
Cette femme a commencé à ne plus pouvoir s’occuper de tous les enfants.
Les mères et les grands-mères ont alors eu l’idée de commencer à tisser
Des toiles aux propriétés magiques, capables d’attraper les mauvais souvenirs
Et les cauchemars, protégeant ainsi leurs enfants.
Traditionnellement, les Ojibwa construisaient des capteurs de rêves à l’aide de brins
De saule pour réaliser un anneau de 9 centimètres de diamètre,
dans lequel ils tissaient une toile similaire à celles des araignées,
Faite de fibres d’orties teintes en rouge.
Ils permettent d’éloigner les mauvais rêves, les mauvaises énergies et les mauvaises
Vibrations. Ils nous permettent également d’entrer en contact avec la culture indienne.
Cette culture nous a légué des savoirs et des traditions millénaires.
Nous devons lutter pour les maintenir en vie,
Et pour nous rapprocher d’elles au maximum,
Car elles nous ont permis d’acquérir des pans entiers de notre savoir.