ღ꧁ღ╭⊱ꕥ Mes Histoires ꕥ⊱╮ღ꧂ღ

   



 Livre D'Histoires.


Quand j'étais enfant, ma mère aimait préparer le souper de temps à autre.

Avec des choses normalement servies au déjeuner. Je me rappelle un soir

En particulier qu'elle avait fait ce menu après une longue et difficile

Journée au travail.

Ce soir-là, il y a longtemps, ma mère a placé une assiette d'œufs, de saucisses

Et des biscuits extrêmement brûlés devant mon père.

 Je me rappelle que j'attendais de voir si quelqu'un les avait remarqués. 

Alors mon père a pris un biscuit en souriant à ma mère et m'a demandé

Comment avait été ma journée à l'école. 

Je ne me souviens pas ce que je lui avais répondu, mais je me souviens avoir

Entendu ma mère s'excuser à mon père pour les biscuits brûlés. 

Je n'oublierai jamais ce que mon père lui a répondu :

 "Chérie, j'adore les biscuits brûlés."

 
Plus tard dans la soirée, quand je suis allée embrasser mon père pour

Lui souhaiter bonne nuit, je lui ai demandé s'il aimait vraiment les biscuits brûlés. 

Il m'a pris dans ses bras et m'a dit, " Ta mère a eu une journée pénible

Et elle est réellement fatiguée.  Pourquoi lui reprocher et la blesser.

Par contre… Un biscuit brûlé ne blesse jamais personne !

Tu sais, la vie est pleine de choses imparfaites…

 Et de gens imparfaits. Je ne suis pas le meilleur dans les choses difficiles, 

J'oublie les anniversaires comme bien des gens. 

Mais ce que j'ai appris au fil des années, c'est d'apprendre à accepter les défauts

Des autres et choisir de célébrer leurs différences est une des plus importantes clés

Pour créer des relations harmonieuses avec autrui. 

Alors, passez aussi l'assiette de biscuits brûlés    


 

MES HISTOIRES

Livre D'Histoires.

Dans un magasin, je me suis retrouvée dans l'allée des jouets. 

Du coin de l'œil, j'ai remarqué un petit bonhomme d'environ 5 ans

Il tenait une jolie petite poupée contre lui…

Il n’arrêtait pas de lui caresser les cheveux et de la serrer doucement

Contre lui. Je me demandais à qui était destinée cette poupée

Qu'il voulait acheter. 

Puis, le petit garçon se retourna vers la dame près de lui : 

" Je n'ai pas assez de sous madame ? "

La dame lui répondit avec un peu d'impatience : 

 " Je sais, tu n'as pas assez de sous pour l'acheter " 

Ensuite, sa tante lui demanda de rester là, et de l'attendre quelques minutes.

 Puis, elle partit rapidement. Le petit garçon tenait toujours la poupée 

Dans ses mains. Finalement, je me suis dirigée vers lui, et lui ai demandé

Pour qui était la poupée ? C'est la poupée que ma petite Sœur désirait 

Le plus cette poupée que tout au monde pour Noël, elle était sûre

Que le Père Noël la lui apporterait. 

Je lui dis alors qu'il allait peut - être lui apporter ? 

Il me répondit tristement : non, le Père Noël ne peut pas aller où ma petite

Sœur se trouve maintenant. Il faut que je donne la poupée à ma Maman

Pour qu'elle lui apporte. Il avait les yeux tellement tristes en disant cela.  

" Elle est partie rejoindre JÉSUS. Papa dit que Maman va aller retrouver

JÉSUS, elle aussi, alors j'ai pensé qu'elle pourrait prendre la poupée

Avec elle pour la donner à ma petite Sœur.

 Mon Cœur, C'est presque arrêter de battre. 

Le petit garçon a levé les yeux vers moi et me dit : j'ai demandé à Papa

D'affirmer à Maman de ne pas partir tout de suite.

 Je lui ai demandé d'attendre que je revienne du magasin. 

Puis, il m'a montré une photo de lui dans le magasin, sur laquelle il tenait

La poupée en me disant : je veux que Maman apporte aussi cette photo

Avec elle, comme ça, elle ne m'oubliera pas. 

J'aime ma Maman et j'aimerais

Qu'elle ne me quitte pas, mais Papa, dit qu'il faut qu'elle aille

Avec ma petite sœur puis il baissa la tête et resta silencieux.

Je fouillai dans mon sac à main, et j’en sorti une liasse de billets

Et je demandai au petit Garçon et si on recomptait tes sous une dernière fois

Pour être sur " OK", dit-il, il faut que j'en aie assez… 

Je glissais mon argent avec le sien et nous avons commencé à compter.

 Il y avait amplement assez pour la poupée, et même plus. 

 Doucement, Le petit garçon murmura : 

Merci JÉSUS pour m'avoir donné assez de sous. Puis, il me regarda et dit :

 j'avais demandé à JÉSUS de s'arranger pour que j'aie assez de sous pour acheter

Cette poupée afin que Maman puisse l'apporter à ma Sœur.

 Il a entendu ma prière. 

Je voulais aussi avoir assez pour acheter une rose blanche à Maman, 

Mais je n'osais pas lui demander. Mais il m'a donné assez de sous pour

Acheter la poupée et la rose Blanche. Vous savez, Maman aime

Tellement les roses blanches…

Quelques minutes plus tard, sa tante revint, et je m'éloignais

En poussant mon chariot. Je terminais mon magasinage

Dans un état d'esprit complètement différent de celui dans lequel

Je l'avais commencé. Je n'arrivais pas à oublier le petit garçon.

Puis, je me suis rappelé un article paru dans le Journal quelques jours auparavant,

Qui parlait d'un conducteur en état d'ivresse qui avait frappé une voiture

Dans laquelle se trouvait une jeune femme et sa fille.

 La petite fille était morte sur le coup, et la Mère gravement blessée.

 Est-ce que c'était la famille de ce petit garçon ? Deux jours plus tard,

Je lus dans le journal que la jeune femme était décédée.

 Je ne peux m'empêcher d'aller acheter un bouquet de roses Blanches

Et de me rendre au salon mortuaire où était exposée le corps de la jeune dame.

 Elle était là, tenant une jolie rose blanche dans sa main, avec la poupée

Et la photo du petit garçon dans le Magasin.

 J'ai quitté le salon en pleurant, sentant que ma vie changerait pour toujours. 

L'amour que ce petit garçon éprouvait pour sa Maman et sa sœur

Était tellement importante, tellement incroyable. 

Et en une fraction de seconde !  

 UN CONDUCTEUR IVRE LUI À TOUT ENLEVER.   

ღ꧁ღ╭⊱ꕥ Le Foulard ꕥ⊱╮ღ꧂ღ  

Une très belle histoire du Père Guy Gilbert sur le PARDON :

C’est une histoire vraie :

 Jean, 20 ans, avait fait une saloperie immonde à ses parents. 

Vous savez… La saloperie dont une famille ne se remet pas, en général.

 Alors son père lui dit : Jean, fous le camp ! 

Ne remets plus jamais les pieds à la maison ! Jean est parti, la mort dans l’âme.

 Et puis, quelques semaines plus tard, il se dit : 

J'ai été la pire des ordures ! Je vais demander pardon à mon vieux…

 Oh oui ! Je vais lui dire : pardon.

 Alors, il écrit à son père : ainsi dit, ainsi fait.

 J’ai été le pire des pourris et des salauds. 

Mais je t’en prie, papa, peux-tu me pardonner ? 

Je ne te mets pas mon adresse sur l’enveloppe, non… Mais simplement,

Si tu me pardonnes, je t’en prie, mets un foulard blanc sur le pommier

Qui est devant la maison.

 Tu sais, la longue allée de pommiers qui conduit à la maison. 

Sur le dernier pommier, papa, mets un foulard blanc si tu me pardonnes. 

Alors, je saurai, oui, je saurai que je peux revenir à la maison.

 Comme il était mort de peur, il se dit : je pense que jamais papa ne mettra

Pas ce foulard blanc. Ainsi, il appelle son ami, son frère, Marc et dit : 

Je t’en supplie, Marc, vient avec moi. Voilà ce qu’on va faire : 

Je vais conduire jusqu’à 500 mètres de la maison et je te passerai le volant. 

Je fermerai les yeux. Lentement, tu descendras l’allée bordée de pommiers. 

Tu t’arrêteras. Si tu vois le foulard blanc sur le dernier pommier devant la maison,

Alors, je bondirai. Sinon, je garderai les yeux fermés et tu repartiras. 

Je ne reviendrai plus jamais à la maison. Ainsi dit, ainsi fait. 

À 500 mètres de la maison, Jean passe le volant à Marc et ferme les yeux.

 Doucement, Marc descend l’allée des pommiers. Puis, il s’arrête. 

Et Jean, toujours les yeux fermés, dit : Marc, mon ami, mon frère,

Je t’en supplie, est -ce que mon père a mis un foulard blanc dans

Le pommier devant la maison ?

Marc lui répond : non, il n’y a pas un foulard blanc 

Sur le pommier devant la maison… 

Mais il y en a des centaines sur tous les pommiers 

Qui conduisent à la maison !!!

 Pouvez-vous, Frères et Sœurs, vous qui avez entendu cette belle histoire

Du foulard blanc, emporter dans votre cœur des milliers de foulards blancs. 

Ils seront autant de miracles que vous sèmerez partout en demandant pardon

À ceux que vous avez offensés ou en vous pardonnant vous-mêmes. 

Alors, vous serez des « êtres de miséricorde ». 

Livre D'Histoires.

MES HISTOIRES

Un vieil homme affaibli alla vivre chez son fils, sa belle-fille et son petit-fils 

De quatre ans. Les mains du vieil homme tremblaient, et sa vision

Était embrouillée et son pas chancelant.

 Ils mangeaient tous ensemble à la même table. 

Mais, pour le vieux grand-père, manger était difficile à cause

De ses mains tremblantes et de sa vue brouillée. Les pois glissaient de

Sa cuillère et quand il attrapait son verre de lait.

 Il en renversait sur la nappe. 

Le fils et la belle-fille devinrent de plus en plus impatientes faces à ces dégâts.  

Nous devons faire quelque chose avec Grand-père, dit le fils. 

" J'en ai assez du lait renversé, du bruit en mangeant et de la nourriture

Sur le plancher.Alors le mari avec sa femme plaça une petite table

Dans un coin. Là, le grand-père mangeait seul tandis que le reste

De la famille dînait ensemble. Comme le grand-père avait brisé une

Ou deux pièces de vaisselle, sa nourriture lui était servie dans un bol de bois.

Quand un membre de la famille jetait un coup d'œil dans la direction.

Du grand-père assis seul dans son coin, il avait parfois des larmes

Au coin des yeux. Malgré cela, les seules paroles que le couple lui adressait

Ils étaient de durs reproches. 

L'enfant de quatre ans observait tout cela en silence…

 Un soir, avant le souper, le père remarqua que son fils, 

Assis sur le plancher, jouait avec des morceaux

De bois. Il lui demanda gentiment : 

Qu'Est-ce que tu fabriques ? 

 Tout aussi gentiment, l'enfant répondit :

Oh, je fais un petit bol pour toi et maman pour que vous y mangiez

Votre nourriture ". Quand je serai grand. L'enfant de quatre ans sourit

Et se remit à l'ouvrage. Ces paroles laissèrent les parents sans voix.

 Des larmes se mirent à couler sur leurs joues.  

Même si aucune parole ne fut prononcée, tous deux surent ce qu'il fallait faire.

 Le soir, même le mari prit la main du Grand-père et gentiment le conduisit

À  la table familiale. Pour le reste de ses jours, il mangea tous ses repas

Avec la famille. Et pour une raison ou une autre, ni le mari et ni sa femme

Ne semblaient préoccupés par une fourchette échappée,

Du lait renversé ou une nappe salie. 

Le mendiant

Le mendiant

Un jour, une femme aperçoit un mendiant, assis sur un trottoir, dans la rue…

Elle s'est approchée de lui et comme le pauvre

Est déjà habitué à être humilié par tous,

Il l'a ignorée… Un policier, observant la scène, s'est approché :

- Il vous importune Madame ? Elle a répondu : 

- D'aucune façon, j'essaye de l'emmener jusqu'à ce restaurant,

Parce que je vois qu'il a faim

Et il n'a même plus la force de se lever. 

Vous, Monsieur le policier, m'aideriez vous à l'emmener

Jusqu'au restaurant à côté ? 

Rapidement, le policier a aidé le pauvre homme, même

Comme ça, il ne voulait pas croire que cela pouvait arriver ! 

En arrivant au restaurant, le serveur qui est allé les accueillir,

Dit, sans aucune délicatesse : 

- Excusez moi, Madame, mais il ne peut pas rester ici.

 Il va faire peur à mes clients !

La femme, vexée, a soulevé les yeux et dit :

- Vous savez que l'énorme entreprise là en face, trois fois par semaine,

Leurs directeurs viennent ici avec des clients,

Et qu'ils viennent aussi pour faire des réunions dans ce restaurant !

 Et je sais combien d'argent, ils vous laissent,

Et c'est essentiellement ce qu'il fait vivre ce restaurant. 

Et je le sais, parce que je suis le patron de cette entreprise. 

 Alors, je peux prendre le repas ici, avec mon ami ou non ?

Le serveur a fait un signe positif de la tête,

Le policier qui observait la scène a été stupéfié,

Et le pauvre homme très ému, à ce moment précis, 

Laissa couler une larme de ses yeux.

Quand le serveur, a reculé, l'homme a demandé : 

- Merci Madame, mais je ne comprends pas ce geste de bonté.

Elle lui prit les mains et lui dit :

- Tu ne te rappelles pas de moi, Jean ? 

-Votre visage me dit quelque chose, a-t-il répondu timidement,

Mais je ne me souviens plus d'où. Elle, les larmes aux yeux, lui dit : 

- Il y a un certain temps, jeune et sans expérience,

Je suis arrivée dans cette ville…  

Sans aucun argent en poche… 

J'avais très faim, je me suis assise à cette place à laquelle je vous

Ai trouvé, car j'avais un entretien d'embauche dans cette entreprise,

Qui aujourd'hui est la mienne…

 Quand un homme, s'est approché de moi, 

Avec un regard généreux.  

Tu te rappelles maintenant Jean ? En larmes, il affirma que oui.

- À ce moment-là, vous travailliez ici même, dans ce restaurant. 

Ce jour-là, j'ai fait le meilleur repas de ma vie, 

Parce que j'étais très affamée et quasiment.

Sans forces. Chaque minute, je vous regardais, 

Puisque j'avais peur de vous nuire, car

J'étais là à manger gratuitement. 

Quand j'ai vu que vous preniez de l'argent de votre poche.

Et que vous le mettiez dans la caisse du restaurant,

J'ai été bouleversée… Et j'espérais

Qu'un jour, je pourrais vous rendre la pareille. 

J'ai mangé et puis je suis allée avec plus

De confiance, à mon entretien. 

À ce moment-là, l'entreprise était toute petite… 

J'ai été acceptée à l'entretien, je me suis

Spécialisée, j'ai gagné beaucoup d'argent, ensuite, 

J'ai fini par acheter quelques actions

De l'entreprise, et finalement, j'en suis devenue la patronne…

J'ai fait de l'entreprise ce qu'elle est aujourd'hui.

Je vous ai recherché, mais je n'ai jamais réussi à vous retrouver… 

Jusqu'à aujourd'hui, et je vous vois dans cette situation. 

À partir d'aujourd'hui, vous ne dormirez plus dans la rue

Jean ! Vous venez avec moi, chez moi… 

 Demain, nous vous achèterons de nouveaux vêtements

Et vous travaillerez avec moi !

Ils se sont pris dans les bras, en pleurs. 

Le policier, le serveur et les autres personnes, qui ont vu la scène, 

Ont été ébahis en raison

De la grande leçon de vie, dont ils venaient d'être témoins ! 

 MORALITÉ : 

"Faites toujours le bien, il en reviendra un jour 

Ou l'autre quelque chose de positif"… 


  Le mendiant

Le mendiant 

Un pauvre garçon qui faisait du porte-à-porte pour payer ses études, 

Se rendit compte qu'il ne lui restait qu'une petite pièce

De monnaie et qu'il avait très faim.

 Il décida de demander à manger à la prochaine

Maison qu'il rencontrerait.

Il perdit son sang-froid, il frappa à une porte et une merveilleuse

Jeune fille vint lui ouvrir. 

Et, au lieu de demander à manger,

il demanda simplement un verre d'eau. 

La jeune fille pensa qu'il avait l'air affamé et elle lui apporta

Un grand verre de lait. 

Mais il boit aussi lentement que possible

Et demanda ensuite : combien je te dois ?

 Tu ne me dois rien, répondit la jeune fille,

Maman nous a appris à ne rien accepter en retour d'un service. 

Il répondit alors : 

Merci de tout cœur. Comme Howard Kelly quittait cette maison

Et sa foi en Dieu et en l'homme fut également fortifiée. 

Il avait été tout prêt à tout laisser tomber. 

Des années plus tard, cette jeune fille devint très malade.

 Les médecins locaux étaient

Déconcertés. Finalement, ils l'envoyèrent dans une grande ville

Pour que des spécialistes puissent étudier son cas très rare.

 Le Dr Howard Kelly fut appelé pour la consultation et…

Quand il entendit le nom de la ville d'où elle venait,

Une étrange lueur remplit ses yeux.

 Il se leva immédiatement, descendit du hall vers

Sa chambre pour la voir. 

Dès qu'il entra, il la reconnut tout de suite et se détermina à faire

Le maximum pour la sauver.

Depuis ce jour, il donnait une attention toute particulière à ce cas. 

Après une longue bataille, la victoire fut gagnée. 

Le Dr Kelly demanda au service administratif de lui communiquer la facture. 

Il y jeta un coup d'œil et écrivit quelque chose dans le coin supérieur et la facture

Fut transmise à la jeune fille. La jeune fille avait peur de l'ouvrir, car elle était sûre

Que cela lui prendrait le reste de sa vie pour tout rembourser. Finalement, elle l'ouvrit

Et quelque chose capta son attention vers le haut de la facture. 

Elle pouvait y lire ces mots : " Payée entièrement avec un grand verre de lait,

Signé Dr Howard Kelly ". Des larmes de joie coulèrent le long de ses joues.

C'est alors qu'elle se rappela avoir donné un verre de lait à un jeune homme

Voilà fort longtemps ! Elle s'agenouilla et dit : 

 Merci Seigneur, car ton amour se répand dans le cœur de l'homme ! 

MES HISTOIRES

Livre D'Histoires. 

 Un agriculteur avait quatre chiots à vendre…

Il peignit donc un panneau annonçant les 4 chiots à vendre,

Et le cloua à un poteau sur le côté de sa cour. 

Comme il plantait le dernier clou dans le poteau, il sentit qu'on tirait

Sur sa salopette. 

Il regarda vers le bas et rencontra les yeux d'un petit garçon. 

Monsieur, dit-il, je veux acheter un de vos chiots.

 Eh bien, dis le fermier, en essuyant la sueur à l'arrière de son cou…

 Ces chiots viennent de parents très racés et coûtent beaucoup d'argent. 

Le garçon baissa la tête un moment. Ensuite, fouillant profondément

Dans sa poche, il sortit un peu de monnaie et la tendit à l'agriculteur. 

J'ai trente-neuf centimes. Est-ce suffisant pour en acheter un ? 

Bien sûr, demande le fermier ….. Et il siffla… Ici, Dolly  … 

Quittant la niche et descendant la rampe, Dolly courut, suivie par

Quatre petites boules de fourrure. Le petit garçon pressa son visage

Contre le grillage. Ses yeux dansaient de joie. 

Comme les chiens arrivaient à la clôture, le petit garçon remarqua

Quelque chose d'autre qui remuait à l'intérieur de la niche. 

Lentement, une autre petite boule apparut nettement plus petite. 

En bas de la rampe, elle glissa. Ensuite, de manière un peu maladroite

Le petit chiot clopina vers les autres, faisant de son mieux

Pour les rattraper. Je veux celui-là, dit le petit garçon, pointant l'animal. 

L'agriculteur s'agenouilla à côté du petit garçon et lui dit : mon petit,

Tu ne peux pas ce chiot… Il ne sera jamais capable de courir

Et de jouer avec toi comme ces autres chiens. 

Le petit garçon recula de la clôture, se baissa et commença à rouler

Une jambe de son pantalon. Ce faisant, il révéla une attelle en acier

Des deux côtés de la jambe, fixée sur une chaussure

Spécialement conçue… En regardant l'agriculteur, il dit :

Vous voyez, monsieur, je ne cours pas très bien moi-même

Non plus et il aura besoin de quelqu'un qui le comprend. 

Des larmes dans les yeux, l'agriculteur

Se baissa et ramassa le petit chiot…

 Le tenant délicatement, il le tendit au petit garçon. 

Combien ? Demanda le petit garçon…   

Rien, répondit le paysan… Il n'y a pas de prix pour l'amour.

 MORALITÉ :

Le monde est plein de gens qui ont besoin

De quelqu'un qui les comprennent.