Il vaut mieux éteindre toutes les lumières,
Rester seulement assis dans le noir,
À écouter le silence, l'oreille aux aguets, le cœur palpitant, lourd, amer,
Car à cet instant, on ne sait même pas ce que l'on attend,
On attend mais l'on sait d'avance que c'est inutile,
Que demain sera comme hier, et l'on reste là,
Petit devant l'immensité de la question, impuissant, inconsolable,
Seulement assis dans son lit, comme un lièvre apeuré dans sa tanière ;
Vous faites quoi, vous, pendant ce sursis, cette suspension du temps ?
Ce retour vers soi, à soi, où votre passé vous reprend,
Le futur vous attend, menaçant, inquiétant,
Où dans le silence qui parle, vous reviennent des souvenirs, des scènes,
Des pans, que vous faites semblant d'oublier depuis longtemps,
Un soupir, parfois un cri étouffé, un gémissement,
Que seul le silence entend ;
Certains pleurent, ceux-là ont bon cœur, et souvent reniflent quelque espoir
En évacuant leur désespoir, d'autres ferment les yeux et silencieux
Regardent défiler ou des tranches déjà vécues,
Ou des rêves qu'ils peignent dans le noir,
D'autres encore invoquent les morts, prient Le Bon Dieu,
Murmurent un chapelet de prières, attendent quand même,
Dans leur solitaire purgatoire, les plus seuls,
Ceux que la conscience taraude,
La quête du sens lutine, torture, ceux-là posent
Le menton dans le creux de la main,
En vain restent à longuement ruminer le pourquoi,
Le comment, de ce monde illusoire ;
Mais des fois, il fait bon éteindre toutes les lumières, rester là,
Juste assis à écouter le silence,
Parce que de tout on est fatigué, las, blasé,
Et l'on a besoin de ce moment, grandement envie de ne rien voir,
De ne rien entendre, même pas une espèce de bourdonnement
Qui au fond de la paroi de notre oreille vient loger, s'écraser,
Et un autre soupir, long, profond, qui à sa fin laisse un nœud,
Une impression de gorge brisée,
Et l'on plonge sa figure froide dans les paumes chaudes de ses mains,
Car on a besoin, vraiment besoin de laisser sa tête lourde se reposer…
Souffrir en silence et puis un jour, je parle ...
Un quart des Françaises frappées par leur Partenaire.
Peut-être qu'une de tes amies, où ta voisine ou ta propre famille.
Les Violences conjugales sont un vrai problème de Société.
Même pas le temps de crier Au Secours parfois...
À travers, le Monde soit : 3 Femmes sur 5 cette violence pousse de plus
En plus les femmes battues au suicide ou à l'homicide.
Dans le monde, plus de 400 femmes meurt des suites de violences conjugales,
Soit plus d'une par jour.
Ne jouons pas à ne rien dire ne rien voir ne rien entendre, c'est trop lâche...
HISTOIRE VRAIE
FAMILLE CROCHE-
_-_-_-_-_-
Sarah Croche, une Marseillaise d'une quarantaine d'années a été tuée à son domicile
Par son conjoint au cours .. D'une violente dispute.
D'après la gendarmerie, cette Femme subissait des violences
Conjugales depuis déjà quelques années.
Il aura suffi de quelques minutes au mari
De Madame Croche pour tuer sa femme,
La nuit dernière, Lors de leurs disputes coutumières.
À 23 heures, une voisine a entendu des bruits, puis des cris.
Il n'y avait pas une journée, pas une nuit sans un cri, mais cette fois,
C'était différent. Gendarmes arrivent sur les lieux.
Ils rentrent dans l'appartement des Croche,
C'est l'horreur Sarah ! Est morte,
La tête en sang, éclatée contre une table
En verre qui aurait explosé avec le choc.
L'un d'entre eux témoigne : de toute ma carrière, je n'ai jamais vu cela.
Il faut réagir, cela ne peut continuer. D'après les gendarmes, le mari se serait enfui
Après son Crime. Aujourd'hui, il est encore recherché. La police scientifique affirme
Que la Femme est bien morte au cours d'une violente dispute.
La police attend d'en savoir plus pour nous communiquer les nouveaux éléments
De l'enquête. De telles choses ne devraient plus se passer dans notre pays.
Les associations qui se sont montées pour aider ces femmes sauvant, elles
Suffisamment les convaincre de demander de l'aide ?
Victimes de Violences Conjugales
Informations sur vos droits et les démarches à entreprendre..
La violence entre époux ou concubins constitue une infraction à la loi, comme toute
Autre forme de violence à l'encontre des personnes.
Il appartient aux fonctionnaires de police d'apporter aux victimes de ce type
De violences toute l'aide à laquelle elles peuvent prétendre en leur permettant
De trouver, auprès des services de police, l'accueil, le soutien et les renseignements
Qui leur sont nécessaires. Leur assurant un plus grande protection les aidant
À constituer les éléments de preuve des infractions Subies pour qu'elles puissent
Mieux défendre leurs droits.
Qu'est-ce que la Violence Conjugale ?
La violence conjugale se définit comme un processus
Au cours duquel une personne exerce à l'encontre
De son (sa) partenaire, dans le cadre d'une relation privée
Et Privilégiée, des comportements agressifs et destructeurs.
Cette violence s'exerce sous diverses formes (verbale, psychologique, sexuelle,
économique...) au cours d'incidents répétés et, souvent, de plus en plus sévères,
Qui entraînent des blessures, des symptômes et des séquelles affectives
Et Psychologiques grave.
Que Dit La Loi ? La loi n° 92-684 du 22 juillet 1992
Portant réforme des dispositions du Code Pénal mentionne que la qualité de conjoint
Ou de concubin de la victime constitue une circonstance aggravante des atteintes
Volontaires à l'intégrité de la personne. Totale de Travail (ITT ), ces faits de violences
Sont constitutifs d'un délit, donc passible du tribunal correctionnel.
Vous êtes victime de violences dans votre couple :
Quelle que soit votre situation, mariée(e) ou non, avec ou sans enfants…
Vous Pouvez En Parler …
En contactant à tous moment, un service social ou une association spécialisée,
Qui peut vous proposez : une aide, une écoute, un accompagnement psychologique;
Une Information sur vos droits ; une possibilité d'hébergement d'urgence
Pour vous et vos enfants ; une aide à la recherche d'emploi.
Chez les femmes violentées de 15 à 44 ans, il y a une diminution d'une année
En bonne Santé sur cinq. On a beau parler de plus en plus de la problématique,
La dénoncer, et même briser les tabous qui l'entourent, la violence conjugale
Continue de faire plusieurs victimes. Il s'agit d'un problème social d’ envergure,
Car les Conséquences peuvent être très lourdes sur le plan humain, social
Et économique, tant pour les victimes de violence que pour l'ensemble de la société.
VIOLENCES CONJUGALES
AUSSI POUR LES HOMMES
Mon fils a connu ces violences
Quand un homme porte plainte les plaintes des hommes
Sont souvent ignorés par la police.
On en Parle Peu,
Pourtant la violence conjugale est bien à double sens.
Bien, des hommes sont victimes de violences physiques
Et morales de la part de leur compagne.
À l'occasion de la journée des hommes, des chiffres
Peu connus ont été mis en avant :
130 000 hommes seraient victimes
De violences par leurs conjointes
Chaque Année. Parmi eux, 3 500 hommes ont porté plainte en 2010.
Selon l'Observatoire ? National de la délinquance et des réponses pénaux, les hommes
Sont trois fois moins nombreux que les femmes à déclarer avoir subi des violences
Physiques ou sexuelles (0,64 % contre 1,84%) au sein de leur couple en deux ans.
L'homme qui décide de porter plainte ou de parler des violences subies autour
De lui est souvent incompris rapporte l'association SOS Hommes battue.
Toujours selon cette association, 3 plaintes sur 4 déposées par des hommes seraient
Refusées. La psychologie et l'empathie des gendarmes et des policiers sont souvent
Mises en Cause. L'association milite d'ailleurs pour une meilleure formation
Du personnel qui ont là charge de gérer ce type de plainte.
LE VIOL
Vous avez été victime de viol ?
Vous n'êtes pas coupable quoi qu'il se soit passé, ce n'est pas votre faute.
Les victimes d'agression sexuelle ne sont généralement pas aptes à réfléchir
À ce qui leur est arrivé
La culpabilité les empêche de comprendre
Qu'elles sont à 100 % des victimes.
D'accord, être une victime n'est pas une idée facile, mais c'est ce qu'il faut comprendre
Pour revenir à la vie. Parfois, la culpabilité est si forte qu'il n'est même plus possible
De se rendre compte que ce sentiment de culpabilité est là, et bien là.
La culpabilité fait que la victime trouve des prétextes à sa culpabilité :
Je n'ai pas dit "Non". Je n'ai pas appelé au secours. Je ne me suis pas débattue...
Je ne peut pas faire une liste, elle serait trop longue, car il y a trop de cas différents.
Il n'y a qu'une chose à dire : si vous ne vouliez pas, personne n'avait le droit
De vous Forcer. Après un viol, c'est l'esprit qui ne cicatrise pas un intrus pénètre
Votre corps sans votre désir de le voir faire et vous croyez que vous n'êtes plus rien.
Un viol peut se produire alors que vous allez tranquillement chercher du pain,
L'agression se produit et votre vie bascule.
La personne qui a subi un viol se croit coupable :
" Pourquoi étais je à cet endroit, à ce moment-là ?
Pourquoi ne suis-je pas partie en courant tout de suite ?
Pourquoi personne ne m'a défendu (e) ?
Pourquoi moi ? Le viol est ressenti comme une punition, comme une peine,
Comme si d'une certaine manière, s'était méritée.
Alors la victime, très souvent se tait. La victime se laisse mourir comme si la salissure
Ressentie ne laissait plus droit à la vie.
Se laisser mourir peut durer toute une vie...
Je ne tiens pas à trop développer le sujet des viols commis par un agresseur inconnu.
Je n'ai jamais subi ce genre d'agression et risque donc de me tromper dans
Mes propos... Il y a aussi les viols à domicile : si le violeur fait parti de l'entourage,
Il se sent protéger les malades mentaux sont partout.
Partout, ne veux pas dire partout dans les rues ou dans les lieux publics.
Partout, veux dire : à l'école (un élève, un surveillant, une prof...),
Sur votre lieu de travail (un client, une collègue, la personne qui vous emploie…),
Dans votre entourage (un voisin, une vague connaissance, un ami…),
Dans votre Famille (un cousin, le grand-père…), chez vous (un frère, l'un des parents,
Une personne que vous invitez ou hébergez…).
Selon les statistiques De La permanence Téléphonique Nationale.
Viols Femmes Informations (2015)
Et nous sommes en 2023 !
- 74 % des viols
Sont commis par une personne connue de la victime.
- 25 % des viols
Sont commis par un membre de la famille.
- 57 % des viols
Sont commis sur des personnes mineures (filles et garçons).
- 49 % des viols
Sont commis sans aucune violence physique.
- 67 % des viols
Ont lieu au domicile (de la victime ou de l'agresseur).
- 45 % des viols
Sont commis de jour. Plus maintenant en 2017.
Le Viol Est Un Crime